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								16 juin 2025 | 
							 
							
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								Le cri 
								d'alarme du secteur Belge de la gestion des 
								déchets face aux incendies 
								  
								Les incendies à répétition dans les centres de 
								tri de déchets deviennent un vrai problème pour 
								le secteur. Les batteries lithium-ion sont 
								principalement responsables et le secteur du 
								recyclage fait part de son inquiétude, rapporte 
								Le Soir. 
								Sur les huit premiers mois de 2024, pas moins de 
								22 incendies ont été recensés en Belgique dans 
								des centres de tri, des centres de recyclage, 
								des recyparks, selon un relevé des incidents 
								relatés dans la presse. D'autres sont sans doute 
								passés sous le radar. 
								  
								  
								Ces incendies à répétition deviennent un vrai 
								problème pour le secteur. "La question n'est 
								plus de savoir si on va avoir un incendie mais 
								quand et qu'est-ce qu'on met en place de façon 
								efficace et coordonnée pour en venir à bout", 
								témoigne François Renardy, risk manager pour le 
								groupe wallon de recyclage Comet, précisant que 
								son entreprise connaît "plusieurs départs de feu 
								chaque semaine". 
								  
								Le suspect habituel est pratiquement toujours le 
								même : les batteries lithium-ion. A la suite 
								d'erreurs de tri, volontaires ou involontaires, 
								on en retrouve de plus en plus dans d'autres 
								flux de déchets. 
								Le secteur du recyclage ne cache pas son 
								inquiétude pour l'avenir. "Nous pensons que le 
								phénomène va s'amplifier puisqu'on nous annonce 
								un quadruplement du nombre de batteries en 
								circulation d'ici 2030" 
								Pour Laurent Dupont, président de la Copidec, la 
								coupole des intercommunales wallonnes de gestion 
								des déchets, il est temps que le monde politique 
								agisse. Il estime que le fédéral va devoir 
								intervenir, et au niveau régional, il appelle 
								les organismes qui gèrent les obligations de 
								reprise (Bebat, Recupel) à communiquer davantage 
								pour conscientiser les consommateurs. 
								  
								Interpellé à ce sujet au parlement wallon mardi, 
								le nouveau ministre de l'Environnement, Yves 
								Coppieters (Les Engagés), s'est dit conscient du 
								problème. "Ma priorité, c'est d'avoir un 
								dialogue avec les opérateurs pour savoir comment 
								prévenir ces feux et avoir une campagne de 
								sensibilisation grand public sur l'utilisation 
								des batteries et la manière dont elles doivent 
								être recyclées". 
								  
  
								Bruxelles : une firme de recyclage prend feu 
								Les pompiers sont intervenus samedi en raison 
								d’un incendie dans une firme de recyclage à 
								Bruxelles. L’origine de l’incendie n’est pas 
								connue. 
								Samedi soir, les pompiers de Bruxelles sont 
								intervenus pour un incendie dans une firme de 
								recyclage, avenue de Vilvorde, a indiqué le 
								porte-parole Walter Derieux dimanche matin. 
								L’origine de l’incendie reste à déterminer. 
								L’intervention des pompiers s’est achevée vers 
								00h30. 
								  
  
								Le feu dans une firme de recyclage de métaux, à 
								Vilvorde 
								Les pompiers ont dû employer les grands moyens 
								pour circonscrire l'incendie. 
								Hier soir, vers 21h45, les pompiers bruxellois 
								sont intervenus pour un incendie dans une firme 
								de recyclage de métaux située avenue de Vilvorde. 
								"Le foyer avait pris dans un tas de plusieurs 
								mètres cubes de débris métalliques", explique le 
								porte-parole des pompiers Walter Derieuw. Les 
								pompiers ont dû employer les grands moyens pour 
								circonscrire le feu mais, dès la première 
								attaque, le panache de fumée a diminué, 
								réduisant ainsi les risques pour les habitants 
								vivant à proximité. Un grutier est ensuite venu 
								ouvrir le tas de débris, permettant aux pompiers 
								d'éteindre et de refroidir complètement le feu. 
								  
  
								L'incendie d'une entreprise de traitement de 
								déchets à Oostnieuwkerke toujours en cours 
								Les pompiers sont toujours à l'œuvre samedi à 
								Oostnieuwkerke, dans la commune de Staden 
								(Flandre orientale), afin d'éteindre l'incendie 
								qui a éclaté vendredi dans une usine de 
								traitement de déchets. Les fumées, toujours 
								importantes, se déportent désormais vers les 
								communes limitrophes de Hooglede et Roulers. Il 
								est possible que de l'amiante ait été libéré, 
								indiquent les autorités locales, qui 
								recommandent à la population locale de garder 
								portes et fenêtres fermées et de couper toute 
								ventilation avec l'extérieur. 
								 
								Le feu a pris peu avant 18h00 et a rapidement 
								provoqué d'importants dégagements de fumée. La 
								phase communale du plan d'urgence a été 
								déclenchée en fin de soirée. 
								Veuillez fermer la vidéo flottante pour 
								reprendre la lecture ici. 
								L'incendie a notamment touché un toit en 
								fibrociment susceptible de contenir de 
								l'amiante. Ce matériau a déjà été retrouvé dans 
								un rayon d'environ 200 mètres autour du site. 
								D'autres analyses de la commune de Staden 
								indiquent toutefois que les débris situés à plus 
								d'un kilomètre de l'usine sont sans danger. Il 
								reste par contre interdit de toucher aux débris 
								de l'incendie situés plus près de l'usine. 
								L'extinction de l'incendie pourrait encore durer 
								toute la journée, ont précisé les autorités 
								locales. 
								  
  
								le 
								p'tit truc… court ! 
								Chez nous en France, t'inquiète pas, on a tout 
								prévu… ?! 
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								10 juin 2025 
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								En pièce jointe pour 
								information et pour la transparence, la lettre 
								de suite de l'inspection des 7 et 8 avril 2025 
								sur le thème " organisation et moyens de crise". 
								 
								Cette lettre de M. Mathieu RIQUART, le chef de 
								division de l'ASNR a été adressée à Madame 
								GOURION la Directrice de la centrale nucléaire 
								de CHOOZ. 
								 
								NB: conformément à la démarche de transparence 
								et d’information du public instituée par les 
								dispositions de l’article L.125-13 du code de 
								l’environnement, je vous informe que le présent 
								courrier est mis en ligne sur le site Internet 
								de l’ASNR (www.asnr.fr). 
								 
								Le sujet et le thème mérite l'information des 
								membres de la cli de Chooz...Et des habitants 
								franco-belge ! 
								 
								Bien cordialement 
								J.DUJEUX 
								Membre de la CLI de Chooz,
								 
								Collège des Syndicats 
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								Cliquer sur l'image pour lire 
								le document 
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					07 
					juin 2025 
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					Les relations 
					transfrontalières… un sujet à développer par ici ! 
					Certains diront que les relations transfrontalières sont 
					déjà une fusée à plusieurs étages. 
					C'est vrai ! Mais en ajouter un autre tel que : le 
					Groupement Européen de Coopération Transfrontalière (GECT) 
					ne serait-il pas une solution pour mieux se structurer ? 
					 
					Déplacement de 
					l’ambassadeur de France à Dinant. 
					Dans le cadre de son déplacement à Dinant, l’ambassadeur de 
					France en Belgique, M. Xavier Lapeyre de Cabanes a rencontré 
					le gouverneur de la province de Namur, M. Denis Mathen et le 
					bourgmestre de Dinant, M. Richard Fournaux ainsi que les 
					échevins. Ces rencontres ont permis de mettre en exergue la 
					coopération entre la ville de Dinant, la province de Namur 
					et la France, notamment dans les secteurs médical, 
					économique, de la mobilité ou de la sécurité. 
					Au cours de ce déplacement, l’ambassadeur a visité la 
					dinanderie Clabots, qui perpétue la tradition du travail du 
					cuivre et du laiton depuis plusieurs générations. Cette 
					entreprise participe à la restauration de très nombreux 
					bâtiments historiques en France et en Belgique. 
					La ville de Dinant est construite en contrebas d’une 
					citadelle édifiée sur un ancien fort bâti par Vauban. Elle a 
					été le théâtre de violents affrontements entre troupes 
					françaises et allemandes au mois d’août 1914. C’est au cours 
					de l’un de ces combats que le lieutenant Charles de Gaulle a 
					été blessé le 15 août 1914. Une statue rend hommage au 
					lieutenant devenu général. L’ambassadeur et le bourgmestre 
					ont déposé une gerbe de fleurs au pied de cette statue 
					érigée en sa mémoire et réalisée par Giudo Clabots. 
					Le p'tit truc à savoir ! 
					Les coopérations transfrontalières répondent aux besoins 
					concrets des populations vivant de part et d’autre de la 
					frontière franco-belge. Certains la traversent 
					quotidiennement : pour rejoindre leur lieu de travail, 
					environ 30 000 résidents français se rendent quotidiennement 
					en Belgique et 5000 résidents belges font le trajet inverse. 
					D’autres la franchissent régulièrement pour suivre une 
					formation, consulter un médecin exercer une prestation ou 
					simplement faire des courses. Cette mobilité et interactions 
					permanentes posent des questions, et parfois des problèmes, 
					d’harmonisation des règles, de gestion des infrastructures 
					(notamment les réseaux de transport transfrontalier), des 
					services (par exemple l’offre de santé ou de sécurité), et 
					des nuisances éventuelles (notamment la lutte contre la 
					pollution fluviale ou atmosphérique). 
					Selon les domaines abordés, les coopérations 
					transfrontalières impliquent du côté français l’Etat et les 
					collectivités territoriales, et du côté belge l’Etat 
					fédéral, les communautés, les régions et les communes. 
					La coopération transfrontalière entre les régions françaises 
					et belges n’a cessé de se développer depuis deux siècles (le 
					tracé actuel de la frontière de 620 km remonte au traité des 
					Limites de 1820, conclu entre les Royaumes de France et des 
					Pays-Bas), pour se densifier au cours des trois dernières 
					décennies. 
					Les coopérations en matière de police et de santé sont 
					particulièrement emblématiques. 
					 
					La coopération policière et douanière franco-belge est 
					encadrée par l’accord de Tournai du 5 mars 2001, qui a 
					permis la mise en place d’un centre de coopération policière 
					et douanière, une cellule d’échange d’informations 
					fonctionnant en continu. 
					La coopération transfrontalière en matière de santé est 
					également très poussée. Elle est encadrée par l’accord cadre 
					franco-belge en matière de coopération sanitaire 
					transfrontalière signé en 2005. En vertu de cet accord, 5 
					zones organisées d’accès aux soins transfrontaliers (ZOAST) 
					ont été créés permettant notamment : 
					 
					- de supprimer l’autorisation médicale préalable pour le 
					remboursement des soins à l’étranger tant pour le patients 
					belges que français ; 
					- la lecture par l’administration belge de la Carte vitale 
					et par l’administration française de son équivalent belge 
					(carte SIS) ; 
					- la complémentarité entre l’offre médicale de part et 
					d’autre de la frontière et la possibilité pour les patients 
					d’un territoire de se faire soigner de l’autre côté de la 
					frontière sans obstacle administratif ni financier. 
					Enfin, pour donner davantage de pouvoir d’initiative aux 
					acteurs locaux, un cadre juridique s’est peu à peu 
					constitué, d’abord dans un cadre bilatéral (notamment, 
					accord de 2002 du Gouvernement français avec le Gouvernement 
					du Royaume de Belgique et les Gouvernements de la Communauté 
					flamande, de la Région flamande, de la Communauté française 
					et de la Région wallonne). Le rôle de l’Union européenne a 
					ensuite été déterminant. Le fond FEDER, qui a alloué 138 
					millions d’euros entre 2007-2013 à la coopération 
					transfrontalière franco-belge, a encouragé plusieurs 
					collectivités frontalières belges et françaises à se 
					constituer en Groupement Européen de Coopération 
					Transfrontalière (GECT) formalisant les pôles de coopération 
					transfrontalière en structure dédiée (budget, équipe). 
					Aujourd’hui, on dénombre trois GECT franco-belges. 
					- L’Eurométropole Lille-Courtrai-Tournai : Composée de 157 
					communes flamandes/wallonnes/françaises et rassemblant plus 
					de 2 millions d‘habitants, l’Eurométropole permet de réunir 
					les différents acteurs de part et d’autre de la frontière 
					(élus politiques, institutionnels, services publics, société 
					civile) afin d’encourager l’émergence de projets 
					transfrontaliers. 
					- Flandre occidentale-Dunkerque-Côte d’Opale : En facilitant 
					l’interaction entre les habitants, autorités locales et 
					experts, ce GECT permet de favoriser la coopération 
					transfrontalière dans les domaines de l’économie, de la 
					mobilité, de l’emploi, de la gestion de l’eau et de 
					l’aménagement du territoire. 
					- Le Parc naturel européen Plaines Scarpe-Escaut : Il 
					regroupe le parc naturel régional Scarpe-Escaut (français) 
					et le parc naturel des Plaines de l’Escaut (belge) afin de 
					développer une gestion intégrée et durable des ressources 
					naturelles et des écosystèmes transfrontaliers. 
					Par ailleurs, la Grande Région est un espace de coopération 
					regroupant des territoires partenaires allemands (Sarre, 
					Rhénanie-Palatinat), belge (Wallonie) et français 
					(Lorraine), ainsi que le Grand-Duché du Luxembourg. Elle a 
					pour but d’améliorer la coopération politique, économique et 
					les partenariats entre les différents acteurs 
					transfrontaliers. 
					Enceintes de dialogue entre élus des deux pays, ces GECT 
					permettent également de mettre sur pied des projets communs, 
					comme récemment le parc bleu de l’Eurométropole (réseau 
					cyclable contournant la métropole lilloise dans un espace 
					naturel). 
					L’ambassade de France suit de près ces coopérations, et met 
					à profit sa connaissance du terrain pour identifier les 
					problèmes et les acteurs pouvant les résoudre. 
					Bonne journée les vigilant(e)s ! | 
				 
				
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					03 
					juin 2025 
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					La mobilité 
					collective entre pays frontaliers… nous connaissons bien 
					ici.  
					 
					Mais quand une structure comme la Stratégie de l'Ardenne 
					Transfrontalière, qui a été conçue pour dynamiser les 
					territoires du nord et du sud du département, s'en mêle… on 
					peut-être sur que ca va rouler aussi ailleurs ! 
					  
					Où en est la 
					création d’une ligne de bus entre Couvin et Rocroi ? 
					Depuis plusieurs mois, des demandes sont formulées par 
					Couvin (Belgique) et Rocroi pour la création d’une liaison 
					TEC (les transports en commun belges) entre les deux villes. 
					Le ministre de la Mobilité a annoncé des avancées. 
					Pour que les travailleurs non motorisés de l’Albatros 
					puissent se rendre à l’institut, pour le tourisme local mais 
					aussi pour les déplacements de l’ensemble des citoyens, les 
					Villes de Couvin et de Rocroi avaient envoyé un courrier au 
					ministre de la Mobilité. 
					Dans celle-ci, elles y défendaient la création d’une liaison 
					TEC. Interrogé par les députés locaux, le ministre de la 
					Mobilité avait indiqué qu’il était favorable au 
					cofinancement du projet. Depuis, de l’eau a coulé sous les 
					ponts. Les députés Eddy Fontaine (PS) et Grégory Chintinne 
					(MR) ont donc voulu savoir où en était le dossier. Dans sa 
					réponse, François Desquesnes (Les Engagés) a indiqué que la 
					piste du cofinancement était toujours privilégiée. « Un 
					contact a donc été initié avec la Stratégie de l’Ardenne 
					Transfrontalière, un organe qui a pour mission de dynamiser 
					la région transfrontalière au sud de la province de Namur et 
					au nord du département des Ardennes », a-t-il précisé. « Une 
					réunion a été organisée le 3 mars par IDELUX et a réuni un 
					représentant de la SART, de l’OTW et du TEC Luxembourg, 
					celui de Namur n’y a pas pu être présent. » 
					Un avenir probable. 
					Le but de cette réunion était d’étudier les lignes 
					transfrontalières en projet dont celle de Rocroi-Couvin ou 
					Couvin-Givet-Dinant. « L’occasion a permis de sensibiliser 
					les parties prenantes françaises à la nécessité d’un 
					cofinancement pour que ces lignes puissent voir le jour », a 
					continué le ministre. « Une prochaine réunion devrait être 
					convoquée à moyen terme. » Après cette réponse, le député 
					Eddy Fontaine a regretté l’absence du TEC Namur. « Il y a au 
					moins une possibilité et un avenir probable vu qu’il y a une 
					réunion bientôt prévue », a nuancé Grégory Chintinne. « 
					C’est une ligne qui, socialement, apporterait énormément. Il 
					y a un intérêt de développer et de créer de l’emploi avec 
					L’Albatros. » 
					  
  
					Autre sujet à 
					l'étude dans le Givetois cette fois ! 
					C'est encore une info confidentielle, soigneusement gardé, 
					une fois de fois par les élu(e)s de la CCARM, que nous 
					allons vous dévoiler dans cette rubrique. 
					En effet, il ne faut pas être grand clerc pour découvrir le 
					pot aux roses. En quelques clics bien orientés, voilà de 
					quoi il en retourne : Une société de transport CLM TRANS 
					(Roumanie) de Monsieur CIOROMILA réalise le transport de 
					fluides en citerne (huile végétale, lait) à l’international, 
					dont le Bénélux et la France. Il est également gérant d’une 
					société à Bruxelles CLM Group dont l’activité est la 
					réparation mécanique et l’entretien des poids lourds 
					(tracteurs, semi-remorques, véhicules légers). Monsieur 
					CIOROMILA est en cours de création d’une société de 
					transport de droit français. 
					Il a obtenu une domiciliation de siège social au CISE à 
					VIREUX-MOLHAIN de la SCI IMMO LIV qui porte le projet 
					d’acquisition de terrain afin d’y construire un bâtiment. 
					 
					PRÉSENTATION DU PROJET. La société poursuivra le transport 
					routier de fluides à destination de la France, des pays du 
					Bénélux et de l’Allemagne, ainsi que le service de 
					réparation des poids lourds. Dans le cadre de son 
					implantation à Givet, M. CIOROMILA prévoit la création de 17 
					emplois sur 3 ans : 12 chauffeurs routiers, 1 responsable de 
					site, 3 mécaniciens, 1 emploi administratif. 
					PROJET IMMOBILIER : SCI IMMO LIV. Une SCI a donc été 
					constituée afin d’héberger la future société commerciale qui 
					sera exploitée par M. Liviu CIOROMILA. 
					ACTIVITÉ COMMERCIALE : C.D.D. TRANS La future société (EURL) 
					nommée C.D.D. TRANS aura pour activité principale le 
					transport de fluides alimentaires (lait, vins, huiles 
					végétales) et une activité complémentaire de services de 
					réparation et d’entretien des poids lourds dont les clients 
					seront les sociétés de transport, dont les sociétés dont M. 
					CIOROMILA est gérant.  
					 
					En première année, il est prévu l’embauche de 5 chauffeurs 
					(220 heures mensuelles chacun), 1 mécanicien et 1 
					secrétaire. La seconde année, 5 chauffeurs et 1 mécanicien 
					supplémentaires seront embauchés. La troisième année, il est 
					prévu la création de 2 emplois de chauffeur et 1 mécanicien. 
					Voilà les amis, après le coup du gueule du Week-end (voir ou 
					revoir article du dimanche 1 juin) deux nouvelles 
					informations qui devraient alimenter nos futures discutions 
					! 
					 
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